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La Caisse d’Epargne Aquitaine Poitou-Charentes est une banque régionale coopérative qui appartient à ses 295 714 clients sociétaires avec qui elle partage ses valeurs de solidarité, de responsabilité et de proximité. Couvrant les 9 départements des territoires Aquitaine et Poitou-Charentes, la Caisse d’Epargne Aquitaine Poitou-Charentes bénéficie d’un maillage territorial avec : 3 sites administratifs, 344 agences commerciales, 3 espaces Banque Privée, 9 centres d’affaires territoriaux dédiés aux entreprises, institutionnels et acteurs de l’ESS, 10 agences Professionnels, 1 centre d’affaires Vitibanque dédié à la filière Vins et spiritueux, 1 centre d’expertises Immobilier Professionnel, 1 Banque d’Affaires, 1 centre d’affaires Grands Comptes ETI et Institutionnels, 1 banque judiciaire « La Banque de l’Orme », 1 centre d’affaires dédié à la gestion de la relation à distance pour les collectivités locales. 

  
Ses 2 428 collaborateurs sont au service de 1,3 million de clients, particuliers, professionnels, entreprises et institutionnels. Banque engagée, la Caisse d’Epargne Aquitaine Poitou-Charentes développe une démarche RSE ambitieuse basée sur des convictions fortes et des actions pertinentes autour des thématiques : relations clients, RH, environnement, gouvernance, vie économique et sociale régionale (chiffres au 22/05/2023)

CAISSE D’EPARGNE AQUITAINE POITOU-CHARENTES

Avec l'investissement responsable, vous disposez de la possibilité de maîtriser l'impact sociétal et environnemental de votre épargne.

Une épargne qui fait sens

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Photo de la futaie mélangée de pins et feuillus avant travaux de régénération naturelle assistée

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Photo de la futaie feuillue avant travaux de régénération naturelle assistée

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Photo du taillis sous futaie de chênes avant travaux de régénération naturelle assistée

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Photo du taillis de charmes avant travaux de régénération naturelle assistée

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Chêne pédonculé

Charme commun

Peuplier tremble

Orme lisse

Pin sylvestre

Douglas

Merisier

Châtaignier

Alisier torminal

Ce projet vise à convertir une forêt pauvre en une futaie mélangée irrégulière, capable de s’adapter aux conditions climatiques changeantes. Les peuplements présents sont essentiellement composés de taillis de charmes ou de chênes sous futaie de chêne et d’anciennes plantations de douglas non entretenues. La régénération naturelle est pourtant bien présente en sous étage. La propriétaire souhaite accompagner le renouvellement forestier par des essences déjà présentes et améliorer la qualité du bois produit. Ces travaux permettront de rendre ce massif plus résilient en augmentant notamment le bois mort au sol (effets de rétention d'eau et de « climatisation ») et en permettant l'installation d'essences diversifiées. Le maintien d’îlots de sénescence et d'arbres "mathusalem" avec des traces de micro-habitats augmentera l'Indice de biodiversité potentiel. Un petit ruisseau traverse également le massif et des zones marécageuses se trouvent côté est de la propriété.

GOOD_HEALTH_AND_WELL_BEING

CLEAN_WATER_AND_SANITATION

DECENT_WORK_AND_ECONOMIC_GROWTH

CLIMATE_ACTION

LIFE_ON_LAND

PARTNERSHIP_FOR_THE_GOALS

Préservation de la biodiversité locale en fournissant des habitats et des ressources adaptées.

Soutien du bien-être humain, en fournissant des ressources, des revenus, de l'éducation, et en soutenant les loisirs et le patrimoine.

Influence sur la qualité et l'intégrité du système sol-eau, et sur le cycle de l'eau et des nutriments.

Contribution à l'atténuation de l'effet de serre et influence sur les régimes de précipitations et le microclimat local.

Dans la région, les coupes rases (de châtaigniers pour la production de piquets ou de résineux pour la production de bois d’oeuvre) sont très courantes. La surface de ces coupes varient entre 1 ha et 5 ha d’un seul tenant selon le morcellement de la propriété forestière. La forêt concernée par ce projet existe depuis plus de 70 ans (et même 200 ans pour certaines parcelles). Cette nouvelle gestion sylvicole permettra de la préserver encore de longues années.

Ce projet vise à convertir une forêt pauvre en une futaie mélangée irrégulière, capable de s’adapter aux conditions climatiques changeantes. Les peuplements présents sont essentiellement composés de taillis de charmes ou de chênes sous futaie et d’anciennes plantations de douglas non entretenues. La régénération naturelle est pourtant bien présente en sous étage. La propriétaire souhaite accompagner le renouvellement forestier et améliorer la qualité du bois produit. Les travaux réalisés permettront de rendre ce massif plus résilient en augmentant notamment le bois mort au sol (effets de rétention d'eau et de « climatisation ») et en permettant l'installation d'essences diversifiées. Le maintien d’îlots de sénescence et d'arbres "mathusalem" avec des traces de micro-habitats augmentera l'indice de biodiversité potentielle. Un petit ruisseau traverse également le massif et des zones marécageuses se trouvent côté est de la propriété.

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Photo aérienne de la parcelle avant plantation

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Aubépine

Frêne commun

Peuplier noir

Érable champêtre

Orme champêtre

Saule cendré

Saule Roux

Prunellier

Cornouiller sanguin

Noisetier commun

Fusain d'Europe

Sureau noir

Troene commun

Églantier

Aulne glutineux

Ce projet vise à restaurer une prairie humide bocagère sur la commune de Bordeaux, dans la réserve écologique des Barails. Des haies et micro-forêts seront plantées sur cette prairie humide, aujourd'hui partiellement colonisée par des espèces exotiques envahissantes. Les bénéfices de ce projet seront multiples : concurrencer ces espèces envahissantes, apporter des corridors et continuités écologiques arborées dans cet espace, améliorer la filtration de l'eau et protéger les sols de l'érosion, apporter une diversification dans le paysage et offrir des refuges et de la nourriture à la faune locale, particulièrement intéressante, telle que la loutre d'Europe (menacée) ou la pie grièche écorcheur. A proximité immédiate du centre, au niveau de Bordeaux-lac, cet espace permettra aux habitants de profiter d'un espace vert, écologiquement fonctionnel et diversifié.

Située à 6km du centre de Bordeaux, la réserve écologique des Barails a été créée en mai 2018, pour répondre aux enjeux de biodiversité. Elle couvre 156 hectares, dont la moitié est ouverte à toutes et tous. Elle représente le plus grand espace vert de la ville de Bordeaux et regroupe trois espaces différents : le Parc floral, le bois et les prairies. Le présent projet se situe dans l’espace prairie, ancien champ de maïs en culture intensive. Depuis 2019 le site est suivi par un écologue, ayant décelé de nombreux éléments de biodiversité possédant de forts enjeux pour certains.

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Photo de la parcelle avant plantation à Floirac

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Photo de la parcelle avant plantation à Léognan

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Tilleul à petites feuilles

Bouleau

Chêne tauzin

Saule Marsault

Arbousier

Chêne vert

Poirier commun

Cormier

Hêtre commun

Arbre de Judée

Nerprun purgatif

Bourdaine

Sureau

Houx commun

Chêne sessile (rouvre)

Chêne pubescent

Ajonc d'Europe

Saule Blanc

Viorne obier

Ce projet se situe dans l'aire urbaine bordelaise, dans les communes de Léognan et Floirac. L'objectif est ici d'implanter des microforêts à proximité immédiate des collèges de François Mauriac et Georges Rayet, qui bénéficieront directement de leurs bienfaits. L'association Mini Big Forest, en charge de ces projets, prévoit d'inclure une centaine d'élèves planteurs pour la réalisation de ces plantations, encadrés par une équipe de bénévoles formés à la plantation. Au delà de tous les bénéfices qu'apportent ces micro-forêts sur le plan écosystémique (captage du CO2, climatiseur naturel, refuge pour la biodiversité, etc...), elles auront également une vocation pédagogique, en sensibilisant et informant les collégiens à la forêt et aux enjeux de déforestation.

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Ce projet se situe au sein de l'aire urbaine bordelaise, dans les communes de Léognan et Floirac. L'objectif est ici de créer des microforêts à proximité immédiate des collèges de François Mauriac et Georges Rayet, qui bénéficieront directement de leurs bienfaits. L'association Mini Big Forest, chargée des projets, prévoit d'inclure une centaine d'élèves planteurs pour la réalisation des plantations, encadrés par une équipe de bénévoles formés à la plantation. Au delà de tous les bénéfices qu'apporteront ces micro-forêts sur le plan écosystémique (captage du CO2 atmosphérique, refroidissement de l'air ambiant, refuge pour la biodiversité, etc.), elles auront également une vocation pédagogique, en sensibilisant les collégiens à la forêt et aux enjeux de la déforestation.

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Chèvrefeuille des haies

Cornouiller mâle

Érable de Montpellier

Viorne Lantane

Aubépine petites feuilles

Cerisier de Sainte-Lucie

Poirier sauvage

Pommier sauvage

Chêne chevelu

Amandier

Ce projet s’intègre dans la conversion d’une exploitation agricole de 43 ha vers l’agroforesterie. Les pratiques largement utilisées sur ces parcelles de grande culture ont fortement dégradé l’écosystème. Pourtant à proximité d’un point de captage d’eau, la zone est devenue vulnérable aux nitrates. Ces terres sont aujourd’hui destinées à l’élevage de brebis et au maraîchage. Depuis un diagnostic écologique réalisé en 2010, l’exploitante souhaite développer une ferme gérée en agroécologique sur l’ensemble de la surface. Dans le cadre de ce projet, des haies intra et extra parcellaires composées de plus de 10 essences très diversifiées de buissons, d’arbustes et d’arbres de haut jet sont implantées. Les objectifs principaux sont de favoriser la biodiversité et le retour des auxiliaires de culture et d’améliorer la qualité de l’eau tout en créant un îlot de fraîcheur. Outre son aspect paysager intéressant, il permettra également le stockage du carbone à long terme.

La Vienne est un département dont les trois-quarts de sa surface sont occupés par l’agriculture, dont une large partie en grandes cultures. L’augmentation des surfaces cultivées s’est traduite notamment par un recul significatif du bocage, et par conséquent de la faune et de la flore associées. Les enjeux en terme de biodiversité y sont particulièrement importants.

Ce projet situé dans la Vienne s’intègre dans la conversion d’une exploitation agricole de 43 ha vers l’agroforesterie. Les pratiques largement utilisées sur ces parcelles de grande culture ont fortement dégradé l’écosystème. Pourtant à proximité d’un point de captage d’eau, la zone est devenue vulnérable aux nitrates. Ces terres sont aujourd’hui destinées à l’élevage de brebis et au maraîchage. Depuis un diagnostic écologique réalisé en 2010, l’exploitante souhaite développer une ferme gérée en agroécologique sur l’ensemble de la surface. Dans le cadre de ce projet, des haies intra et extra parcellaires composées de plus de 10 essences très diversifiées de buissons, d’arbustes et d’arbres de haut jet sont implantées. Les objectifs principaux sont de favoriser la biodiversité et le retour des auxiliaires de culture et d’améliorer la qualité de l’eau tout en créant un îlot de fraîcheur. Outre son aspect paysager intéressant, il permettra également le stockage du carbone à long terme.

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Pin maritime

Bouleau verruqueux

Chêne liège

Ce projet vise à restaurer et diversifier une forêt sur une zone sableuse de landes à Molinie. L’ancien peuplement de Pins maritimes a été sinistré lors de la tempête de 2009, et la faible régénération qui s’est développée n’a pas suffi à reconstruire un massif sain. Le propriétaire souhaite s'inscrire dans une démarche durable en abandonnant le labour (largement utilisé dans la région) et en diversifiant le massif par la plantation plusieurs essences feuillues dont certaines productives. L’objectif est de limiter au maximum les interventions dans la forêt et de privilégier une production de bois de qualité pour alimenter la filière de bois d’œuvre. 
Les dégâts liés à la présence d’ongulés devraient être limités puisque la parcelle est clôturée. Un mare est également installée dans une partie plus humide, afin de favoriser le retour de la biodiversité.

La parcelle est situé au cœur du massif des Landes de Gascogne, où la culture de Pins maritimes est la principale sylviculture. Cela s’explique par les conditions climatiques et pédologiques particulièrement rudes, dans lesquelles cette essence est une des seules à survivre.

Ce projet vise à restaurer et diversifier une forêt sur une zone sableuse de landes à Molinie. L’ancien peuplement de Pins maritimes a été sinistré lors de la tempête de 2009, et la faible régénération qui s’est développée n’a pas suffi à reconstruire un massif sain. Le propriétaire souhaite s'inscrire dans une démarche durable en abandonnant le labour (largement utilisé dans la région) et en diversifiant le massif par la plantation de plusieurs essences feuillues dont certaines productives. L’objectif est de limiter au maximum les interventions dans la forêt et de privilégier une production de bois de qualité pour alimenter la filière de bois d’œuvre.
Les dégâts liés à la présence d’ongulés devraient être limités puisque la parcelle est clôturée. Un mare est également installée dans une partie plus humide, afin de favoriser le retour de la biodiversité.

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Cette plantation fait suite au précédent projet déjà aidé par Reforest'Action, avec la Communauté de Commune Nord Est Béarn. Comme lors de la saison précédente, il s'agit de planter des haies bocagères au sein de parcelles appartenant à de multiples propriétaires publics comme privés, dont les parcelles sont situées au nord-est de l'agglomération de Pau. L’introduction de ces haies bocagères permet de limiter l’érosion des sols et d'améliorer leur structure. Les arbres plantés fourniront de l’ombre aux animaux d’élevage et serviront de brise-vent. Les parcelles, dont certaines sont traversées par un sentier, verront leurs propriétés paysagères améliorées. La biodiversité sur la zone sera préservée et favorisée grâce à la constitution de ces corridors écologiques, propices à la circulation de la faune et des insectes pollinisateurs. Les arbres plantés stockeront également du carbone sur la durée, participant ainsi à la lutte contre le dérèglement climatique.

Ma contribution

Les étapes pour contribuer